Tous les deux ans, Bibracte, ancienne capitale culturelle et économique gauloise, invite une métropole à présenter les différentes facettes de sa culture dans le cadre exceptionnel du Morvan. Les 26 et 27 septembre 2009, année de la Turquie en France, Istanbul s’installe sur le Mont Beuvray.

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Quel rapport entre Istanbul et Bibracte ? Les Celtes ne sont pas des inconnus en Turquie. Au IIIe siècle avant J.C., trois de leurs peuples, désignés plus tard sous le nom de Galates, se lancent dans une expédition qui les amènent jusqu'au centre de l'Anatolie. Ils s'y installent et se fondent dans la population ; l'un des peuples, les Tectosages, établit sa capitale sur le territoire de la future Ankara. Leur langue, encore parlée à l'époque de Saint Jérôme au IVe siècle après J.C., finit par disparaître à la fin de l'époque romaine.
Le temps d’un week end, les 26 et 27 septembre 2009, c'est la grande métropole des Turcs qui rend visite aux descendants des Celtes.

Au programme de cette 3ème édition :

La journée (samedi et dimanche):

  • Le saxophoniste Stéphane Payen et le slammeur Felix Jousserand mettent en musique les textes du grand poète turc Orhan Veli.
  • Autour de poèmes et de contes, le guitariste Daniel Fernandez et la comédienne Emmanuelle Veïn inventent un périple dans les rues d’Istanbul et les villes du bassin méditerranéen.
  • La chanteuse Saadet Türköz navigue entre vocalité moderne et mélodie traditionnelle.
  • L’écrivain Nedim Gürsel présente ses essais et récits de voyages.
  • Les arts visuels avec les oeuvres du vidéaste Ali Kazma, la projection du film “Crossing the Bridge” du cinéaste Fatih Akin et une exposition inédite des dessins turcs de Pierre Loti.
  • Archéologues et artisans vous font découvrir l’histoire de Bibracte et de ses habitants et vous transportent dans les confins orientaux des territoires celtiques.

Et le soir :

  • Musiques traditionnelles avec les improvisations de Senem Diyici et Alain Blessing.
  • Le quatuor Maliétes convoque les airs du vieil Istanbul et les musiques classiques ottomanes.
  • Le groupe Baba Zula revisite l’héritage traditionnel turc au rythme de sonorités électroniques et livre une musique excentrique et joyeuse.

Enfin, les noctambules vont danser dans les bois jusqu’au bout de la nuit, avec la Saturday Turkish Night Fever.

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